La discrétion de votre bon sens est peut-être souhaitable

Le week-end a été très dur. Ceux qui ont le coeur fragile je vous averti: ne lisez pas ce qui suit. Aux autres qui se croient insensibles aux "petites moeurs": vous allez flancher et remettre en question votre existence. On pari?

J'avais des comptes à régler avec Devis. Vous savez de quoi je parle. Le père va mal, il est dans la dèche. Il a tout avoué au café où nous avions pris rendez-vous samedi: il doit un demi million à la mafia. Il a tout perdu aux courses de chevaux ce qu'il avait emprunté aux criminels. Maintenant, on veut lui faire la peau.

J'ai tombé par terre quand il m'a raconté ça - littéralement. Dans le mouvement, j'ai accroché mon berlingot de lait au chocolat qui s'est renversé sur moi. Même si Devis est largement préoccupé par des problèmes beaucoup plus graves, il a su comprendre ma misère instantanée et porter secours sans hésiter. J'ai apprécié le geste solidaire et promis de lui venir en aide.